L’auteur de cet article entreprend plaider pour un « comparatisme superficiel », en se posant la question : quelle est cette profondeur, forme texte possible, qui apparaît à surface toute comparaison ? Ou plus précisément quel le tiers absent textes (si l’on prend configuration minimale deux textes) Quel ce livre fantôme que suscite inévitablement juxtaposition livres dans bibliothèque d’un com...